4.12.09

des pulsions dans des dimensions

comment tenter de les comprendre, en premier? comment entreprendre les vrais gestes, les exactes actes qui causeraient, engendreraient les situations telles qu'indiquées, désirées dans notre esprit? comment créer, avec les bons ingrédients, les moments à lesquels certains inassouvis expulsions se doivent de s'exprimer, de s'extirper, et même, se compléter sa boucle, cette éternelle roue qui tourne, retournement de l'existentielle soucoupe. le couple, là où nous le concevons, n'est pas toujours là où nous le pensons, les deux, déjà dualités à leur propre premier degré d'existence, ne peuvent que s'entrecroiser, ne peuvent que s'entrecoincer, non pas dans les bulles quotidiennement accumulées, mais surtout dans la complexité des êtres impliqués, ces parcelles de personnalitées qui, lorsque certaines circonstances ou coïncidences s'agencent, deviennent et transcendent, surtout, des forces innées qui, à la base, exécutent leurs plus naturelles raisons d'exister, leurs puissances ainsi indubitablement divulguées, rentrent, non pas en conflit, mais en réelles concrètes liaisons, quelques fois violentes, ou même virulentes, mais toujours conclusivement constructives, à la longueur de temps d'absorption inconsciemment nécessaire à ces inévitables incontournables connexions. absolument, souvent, insurmontables accrochement, vu les niveaux précis auxquels tous faisons faces, ces clashs, anicroches, embrochement, enlisement, demeurent le lieu, l'endroit où nous, travailleurs, constructeurs, construisons, travaillons, échafaudons et bâtissons, nos maintenant habitables logements, nos chambres qui, potentiellement, amélioreront, lubrifiera l'essence, l'air, le quasi magma qui pourrait nous pogner, nous aspirer, nous asperger, nous immoler, nous consumer. c'est chaud, mais pas humide, comme le reste des autres gestes qualifiés de timides. les doutes m'attirent à ces Toutes Belles qu'elles sont, m'épuisent, me figent. ah! ensorcelons-nous! ces succulentes sublimes envoûtantes Sphères fantasmagoriques...

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